Le bonheur : comment être heureux dans la vie ?

Dans cet article, nous allons parler du bonheur. Vaste sujet, je le sais. Mais après avoir donné la définition du bonheur, je vous parlerai du bonheur en philosophie, en psychologie et en sociologie. Enfin, je vous donnerai des pistes pour être heureux.

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Longtemps méprisé par les philosophes au profit de la recherche métaphysique de la vérité ou de la réflexion sur la science, le bonheur est redevenu récemment le centre de la réflexion de certains philosophes, voilà l’intérêt de cet article !

Définition du bonheur : qu’est-ce que le bonheur ?

Le bonheur, c’est quoi ? Suffit-il de se lever de bonne heure pour être heureux ? 😉

Que signifie bonheur ?

D’après Wikipedia, le bonheur est un état durable de plénitude, de satisfaction et/ou de sérénité.

C’est un état agréable et équilibré du corps et de l’esprit. La souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble en sont absents.

Attention, le bonheur ne doit pas être confondu avec la sensation passagère de plaisir ou de joie. Il se définit au contraire comme un état d’équilibre, agréable, qui dure dans le temps.

Pour compléter cette définition, voilà les définitions de philosophes contemporains. Une « approbation inconditionnelle de l’existence » (Rosset), un « gai désespoir » (Comte-Sponville) ou encore « une joie totale de vivre » (Giuliani). On note que, pour eux, la notion de bonheur recouvre tout sentiment de « satisfaction globale ».

Etymologie du bonheur

Étymologiquement, le mot « bonheur » vient de l’expression « bon eür ».

« Eür » est issu du latin augurium, signifiant « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ».

D’un point de vue étymologique, le bonheur est l’aboutissement d’une construction, qui (comme on l’a dit ci-dessus) ne saurait être confondue avec une joie passagère.

Le fait que cette construction s’accroisse durablement provoque l’accumulation des satisfactions, ce qui mène au bonheur.

Le bonheur et le plaisir

Le bonheur et le plaisir sont deux notions trop souvent confondues.

Le plaisir est une forme de satisfaction, mais c’est une satisfaction comprise plus limitée et plus ponctuelle que le bonheur. Le caractère fugace et éphémère du plaisir a souvent été mis en exergue par certains philosophes moralistes… comme si la quête du plaisir était obligatoirement une quête dont la satisfaction se trouvait limitée par la nature même de son objet.

Le bonheur, quant à lui, est un état caractérisé par sa durabilité et sa stabilité, et désigne un bien-être complet du corps et de l’esprit, tandis que le plaisir concerne plus souvent le corps. On peut d’ailleurs se demander si un tel état permanent existe.

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Le bonheur en philosophie

La tradition philosophique occidentale oppose les optimistes (Spinoza, Montaigne, Diderot, Épicure), pour qui le bonheur comme « état de satisfaction totale » est possible voire facile et les pessimistes, pour qui il est difficile voire impossible (Rousseau, Pascal, Schopenhauer, Freud).

D’autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale : selon eux, on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale ; néanmoins, on ne peut pas parler d’une condamnation de la recherche du bonheur.

Nietzsche, lui, critique la recherche du bonheur comme une fuite devant le tragique de la réalité, préférant l’expérience de la joie.

Le bonheur a deux faces pour les épicuriens

Selon Épicure, le bonheur a deux faces : une face négative qui correspond à l’absence ou la diminution de la souffrance et une face positive qui concerne la satisfaction des désirs naturels et nécessaires (d’où le terme d’épicurien).

Le bonheur est conditionné par le plaisir et consiste à vivre une vie vertueuse. L’absence de troubles du corps et de l’esprit naît de la satisfaction des désirs naturels et nécessaires, dont les plus importants sont, pour lui, la sûreté, la santé, la sagesse et l’amitié.

Le bonheur selon Kant

Bonheur et Kant : définition du bonheur et impossibilité de l’atteindre

Le bonheur est un thème que Kant a traité de manière secondaire dans son œuvre, car contrairement à Epicure ou Spinoza le bonheur ne doit, selon lui, pas constituer le but de l’existence humaine.

Selon Kant la notion même de bonheur pose d’abord un problème, car le contenu concret et empirique en est impossible à cerner. Il pense, en gros, que le bonheur supposerait que nous puissions satisfaire tous nos désirs, pleinement et sans interruption.

Tout cela n’empêche pas bien sûr que chacun ait pour premier mouvement naturel de se mettre à la poursuite de son bonheur propre, et que beaucoup parviennent à le trouver et à le comprendre de manière tout à fait déterminée.

Kant n’est pas un moraliste qui condamnerait la recherche du bonheur au profit de la suprématie du devoir. Au contraire, il ne s’y oppose pas mais dit qu’il n’est pas possible de suivre la loi morale tout en recherchant son bonheur. Or, il dit que le devoir envers soi-même consiste à travailler à sa perfection morale personnelle et non à rechercher son propre bonheur.

S’ajoute un obstacle pratique, c’est que les attentes et les désirs des uns et des autres étant contradictoires, si chacun ne recherchait que son propre bonheur, il en résulterait des conflits permanents, ce qui anéantirait toute chance de bonheur car le devoir envers autrui consiste à contribuer à son bonheur (mais poursuivre son propre bonheur n’en est pas un).

Bonheur et Kant : faire son devoir ne rend pas forcément heureux

Faire son devoir est la source d’un certain contentement. Mais le contentement dont on parle là question ne constitue pas un bonheur complet et, dans le monde tel qu’il est, on ne peut espérer que le bonheur de chacun soit proportionné à sa vertu.

Pourtant, c’est la vertu qui rend digne d’être heureux. On se trouve ici devant l’antinomie de la raison pratique : seule la pratique de la vertu fait mériter le bonheur, mais en fait, selon les mécanismes de la nature, rien ne garantit qu’elle l’obtienne effectivement. Pour résoudre cette antinomie, la raison pratique est conduite à postuler l’immortalité de l’âme et l’existence de Dieu. Celui-ci, dans l’au-delà de la mort, récompense la vertu par le bonheur.

Kant est donc un philosophe, non du bonheur, mais de la spéculation, de l’éthique et de la morale.

Le bonheur selon Nietzsche

Selon Nietzsche, le bonheur est le sentiment que la puissance croît, qu’une résistance est en voie d’être surmontée.

Le bonheur dans la philosophie contemporaine

La philosophie contemporaine revient à la recherche d’une sagesse pratique au quotidien, basée sur les exercices spirituels de l’antiquité, ce qui explique sans doute le regain d’intérêt récent du grand public pour la philosophie.

Cette tendance fait, aux yeux des gens, de la philosophie une voie royale pour atteindre le bonheur.

Le bonheur chez les bouddhistes

En philosophie bouddhiste, l’être va éviter d’être dans le désir car sans quoi, sa vie va osciller entre le plaisir et le déplaisir.

Donc le bonheur est plus la recherche d’un état de conscience d’être-à-soi et d’appartenance au monde.

L’être vise un certain détachement éventuellement teinté de compassion.

Les émotions sont des facteurs de perturbations alors que le bonheur est calme et harmonie.

Le Nirvana est l’expression suprême d’un bonheur qui ne serait même plus qualifiable tant il serait intemporel et acausal.

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Bonheur et psychologie

Avec le temps, on remarque que l’approche philosophique s’enrichit des approches psychologiques.

L’approche de la psychanalyse invite à penser l’être humain comme étant névrosé, c’est-à-dire étant sujet de frustrations voire de souffrances psychiques, liées principalement au vécu de l’enfance. Ce serait un état normal, lié au mécanisme du désir et de la pulsion, que nous devrions apprendre à satisfaire dans les contraintes imposées par la vie en société, à commencer par la famille. Bon, après, vous savez ce que je pense de la psychanalyse… (que ça n’a jamais guérit personne !)

La psychanalyse d’après 1920 propose donc une vue pessimiste dans laquelle le bonheur n’est pas un état ultime de l’existence auquel nous pourrions prétendre. Il serait en revanche possible selon Freud de trouver des moyens d’existence nous éloignant de la souffrance voire nous procurant une certaine satisfaction.

La psychologie positive, avance que les courants de la psychologie se sont trop concentrés sur le pathologique et propose d’axer ses recherches sur le bien-être mental.

La psychologie positive ne s’intéresse pas uniquement à l’étude des patients mais également à l’étude des personnes sans pathologie et des personnes ayant surmonté les événements de vie difficile ou les traumatismes, sans développer de pathologie.

L’idée est d’aller découvrir, chez les personnes les plus résilientes, les plus optimistes, les clefs du bien-être humain et de développer les ressources naturelles et les forces. La psychologie positive s’intéresse particulièrement aux notions de bonheur, de résilience, de bien-être, d’optimisme.

D’autres courants de psychologie affirment que le bonheur est le sentiment naturel qu’éprouve la psyché humaine lorsqu’elle s’épanouit d’une manière intégrée… ce qui suppose une forme de culture fondée sur l’amour et l’être plutôt que sur la peur et l’avoir.

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Le bonheur et la sociologie

Si l’on fait exception des travaux de Jacques Ellul, la sociologie ne théorise pas le bonheur, puisqu’elle a pour seul et unique but d’étudier les comportements des individus les uns envers les autres.

De plus, la notion du bonheur étant extrêmement variante entre les individus et les sociétés différentes, une telle définition devrait forcément être relativisée. Néanmoins, la sociologie constate que la recherche du bonheur est l’un des éléments essentiels de certaines sociétés.

Bonheur et politique : aux Etats-Unis

On retrouve la notion de bonheur dans la Déclaration des droits de l’État de Virginie aux Etats-Unis en 1776.

« Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont dotés par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits, et leur juste pouvoir émane du consentement des gouvernés. Toutes les fois qu’une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l’abolir et d’établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes et en l’organisant en la forme qui lui paraîtront les plus propres à lui donner la sûreté et le bonheur. »

Bonheur et politique : en France

En Europe, la notion de bonheur ne prend un sens politique qu’une vingtaine d’années plus tard, très exactement sous la Révolution française. La constitution de 1793 postule explicitement que « le but de la société est le bonheur commun ».

Ainsi, au fil du temps se développe le concept d’État-providence, le « bonheur ici-bas » occupant la place jusqu’ici détenue par « le salut dans l’au-delà ». Le bonheur est donc probablement un peu une expression du matérialisme contemporain.

C’est durant la période des Trente Glorieuses que l’idée de bonheur se manifeste pleinement dans les pays industrialisés et développés sous un angle politique : quand la croissance économique équipe les foyers en équipements de toutes sortes et que la société de loisirs semble pouvoir répondre aux attentes de tous les citoyens. Cependant, des travaux montrent que le bonheur est encore pendant cette période une valeur secondaire, bien souvent associée à l’égoïsme face aux valeurs supérieures que sont le devoir, la religion ou la grandeur nationale.

Des guides de bonheur familial destinés surtout aux femmes se multiplient à partir des années 1950. De plus, un courant critique se développe alors, affirmant que la croissance économique ne peut contribuer au bonheur. L’idée se développe que la société de consommation, en satisfaisant sans cesse les besoins matériels, en génère automatiquement d’autres, provoquant ainsi une forme nouvelle d’aliénation.

Sans jamais contester la pertinence du concept de bonheur, la mouvance « soixante-huitarde » a recherché d’autres formes de bonheur, à travers les rencontres humaines, un mode de vie plus communautaire, le retour à la nature, une vie plus simple et dégagée de contraintes, la pratique des arts, etc.

Valéry Giscard d’Estaing, en accédant à la Présidence de la République, insiste sur l’épanouissement personnel et met en place un ministère de la Qualité de la vie.

Bonheur et politique : la société de consommation

Cette notion d’un « autre bonheur » (alternatif à celui proposé par la société de consommation) a été récupérée depuis lors par… cette même société de consommation.

Notamment dans les images de publicité (particulièrement celles véhiculées par les compagnies pétrolières responsables des grandes catastrophes écologiques) et le cinéma (comme le montre par exemple le succès en France en 1995 du film « Le bonheur est dans le pré ») véhiculant de façon récurrente l’idéal éternel du retour à la nature.

L’écologie est récupérée par le capitalisme…

Dans quels pays est-on le plus heureux ?

En 2011, l’OCDE met en place le Better Life Index, indicateur du vivre mieux.

Selon cet indice, l’Australie est le pays le plus heureux du monde en 2013. Selon le World Happiness Report, Rapport annuel sur le bonheur lancé par l’ONU en 2012 (rapport basé sur six critères), les pays scandinaves sont les plus heureux et les moins heureux sont en Afrique.

Des chercheurs de l’université de Rotterdam ont établi un autre classement mondial du bonheur, pour la période 1995-2005 à partir de 953 indicateurs. Les cinq pays les mieux classés sont le Danemark, la Suisse, l’Autriche, l’Islande, la Finlande. Les Français arrivent en 39ème position de ce classement.

Le psychologue britannique Adrian White, de l’université de Leicester, a établi en 2007 une carte mondiale du bonheur basée sur cinq critères : santé, richesse, éducation, identité nationale, beauté des paysages. En 2008, c’est le Danemark qui arrive en tête du classement. Selon Libération, « La France a beau afficher d’excellents résultats dans toutes les catégories, elle ne se classe qu’en 62e position. »

On note tout de même que les pays où il fait apparemment le plus bon vivre sont des petits pays.

L’argent fait-il le bonheur ?

Parmi les facteurs attribués au bonheur par les chercheurs ou à l’occasion de la publication de ces études, les chercheurs sont unanimes : une hausse des revenus n’augmente pas nécessairement le bonheur.

On note aussi le fait que les gagnants du loto finissent en général mal.

Ce qui ne veut pas dire que les gens pauvres sont nécessairement plus heureux que les gens riches.

Bonheur et biologie

Bonheur et hormones

En neurobiologie, certaines molécules sont appelées « hormones du bonheur ». Il s’agit de la dopamine et de la sérotonine qui contribueraient au sentiment de bonheur.

Lorsque le bonheur est absent, on peut parfois parler de malheur, et en terme clinique, de dépression. Les antidépresseurs actuels agissent le plus souvent sur la dégradation de la sérotonine, entraînant une augmentation de sa concentration entre les synapses. Au bout d’un certain temps, l’individu dépressif retrouve un certain « bonheur », une certaine joie de vivre.

Cependant, même si cela fonctionne, le temps de réaction de l’individu par rapport à la concentration en sérotonine (2 semaines, en moyenne) laisse à penser que le processus de bonheur est beaucoup plus complexe qu’une simple concentration en une seule molécule.

Bonheur et héritage génétique

La personnalité est largement « acquise » (par opposition à innée). Ainsi, le fait d’être heureux est déterminé, dans une large mesure, par l’expérience.

Cependant, des études comparant les gènes de vrais et faux jumeaux ont permis de mettre en lumière l’existence d’un lien tout de même assez fort entre le bonheur et l’héritage génétique.

L’héritage génétique serait responsable de près d’un tiers des fluctuations de bonheur entre les individus.

Il existe naturellement de nombreux facteurs qui déterminent si le sujet est heureux ou non. Parmi eux, on distingue notamment les circonstances extérieures, comme le fait d’être ou non au chômage. L’âge joue un rôle déterminant également. Cependant, le caractère est l’un des principaux facteurs : un sujet anxieux sera statistiquement moins heureux qu’un sujet confiant pour l’avenir.

La sérotonine étant, comme on l’a dit, connue pour avoir une large implication dans la régulation des humeurs, un chercheur a comparé les différents allèles, longs et courts, dans leur production de transporteurs de sérotonine. Il apparaît que les allèles les plus longs produisent plus de transporteurs de sérotonine que les courts. Ainsi, les sujets ayant deux allèles longs sont, selon les résultats de De Neve, statistiquement plus heureux que ceux possédant un long et un court. Eux-mêmes sont plus heureux que ceux portant deux allèles courts.

Les études ne sont cependant qu’à leur commencement et les chercheurs ne prétendent pas avoir résolu la question du bonheur (loin de là).

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Comment être heureux dans la vie ?

Comment être heureux ? Ou comment être heureuse ?

Pour être heureux, vivons caché, diront certains. Il est vrai que la célébrité peut avoir pas mal d’inconvénient comme une perte quasi-intégrale de sa vie privée.

Alors, sérieusement, comment faire pour être heureux ? Ou, du moins, pour être plus heureux ? Comment devenir heureux dans la vie (sans parler d’atteindre le bonheur puisqu’on a vu que ce n’est pas forcément possible) ? Que peut-on faire pour retrouver une certaine insouciance comme quand on était enfant ?

Comment être heureux sans argent ?

Comme on l’a vu, l’argent ne fait pas le bonheur, mais ne pas en avoir ne rend pas heureux non plus. Ce qu’il faut retenir ici c’est que l’on peut tout à fait être heureux sans argent. Mais qu’avoir un travail (ou une occupation du moins) rend plus heureux.

Par contre, on a vu des réponses à la question « comment être heureux et le rester ? » Ces réponses sont l’étude de la psychologie positive (et le développement personnel), les recaptureurs de sérotonine (si vous êtes en dépression et que vous souhaitez redevenir heureux, cela pourrait vous aider), le fait d’aller vivre dans un pays où les gens sont les plus heureux du monde contribuerait aussi logiquement à augmenter vos chances d’être plus heureux.

Comment atteindre le bonheur ? Chacun a sa recette. Y’a des gens qui vous conseilleront la philosophie, d’autres le minimaliste, etc.

Personnellement, j’ai donné toutes les solutions pour être moins stressé et plus heureux que je connais dans mes articles :

Crise d’angoisse : comment en finir avec les crises de panique ?

Angoisse de mort : comment ne plus avoir peur de la mort ?

Etre normal : qu’est-ce qu’une personne normale et comment être normal ?

Dépression : comment se sortir de la déprime (tout seul, naturellement) ?

Car, ouais, on peut supposer que quand on s’accepte, qu’on ne fait pas de crises d’angoisse ni de dépression, on est déjà plus heureux que beaucoup de gens…

Comment être heureuse seule ?

Il y a beaucoup de personnes qui souffrent de la solitude. Et parmi ces personnes, il y a une grande majorité des femmes.

Comme on l’a vu, le lien social est un composant essentiel du bonheur.

Dire « Je veux être heureuse seule » est une bonne et une mauvaise idée. C’est une bonne idée car vous ne serez plus dépendance affective et que votre valeur montera sur le marché des rencontres. Mais c’est une mauvaise idée parce qu’on ne peut jamais vraiment être heureux ou heureuses si on vit dans la solitude.

Je vous explique tout ça ainsi que comment faire des rencontres sur mon autre site « Conseils Séduction Femmes ».

Pour aller plus loin sur le bonheur

Pour aller plus loin sur le bonheur, je vous conseille un livre sympathique : Propos sur le bonheur, de Alain. Je l’avais lu à une période où j’étais un peu déprimé et ça m’avait fait du bien.

En vous souhaitant le meilleur !

Votre mentaliste,

Fabrice Julien

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